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Wikigender > Wikis > Les indicateurs sur le genre

Les indicateurs sur le genre

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Wikis > Les indicateurs sur le genre

Indice de développement de genre (IDG) [1]

L’Indice de développement de genre (IDG ; GDI en anglais) est un indicateur statistique composite, introduit par le PNUD en 1995. On parle aussi d’Indice Sexospécifique de Développement Humain (IDSH).

Objectifs

L’IDG vise à affiner l’Indice de Développement Humain (IDH) en y intégrant les inégalités entre les femmes et les hommes. Il intègre donc les mêmes variables que l’IDH (espérance de vie à la naissance, taux d’alphabétisation et de scolarisation, niveau de vie estimé à partir des revenus par habitant), mais en tenant compte des inégalités entre femmes et hommes pour chaque variable.

Composition

Les variables qui composent l’IDG sont :

  • l’espérance de vie à la naissance des femmes et des hommes ;
  • la durée attendue de scolarisation des enfants (garçons et filles) et la durée moyenne de scolarisation des adultes (femmes et hommes) âgés d’au moins 25 ans ;
  • les estimations relatives aux revenus du travail des femmes et des hommes.

Méthodologie

L’IDG utilise la même méthodologie que pour l’IDH, il correspond à un IDH ajusté aux inégalités de genre. Pour calculer l’IDG, il faut calculer l’IDH séparément pour les femmes et pour les hommes en ayant recours à la méthodologie utilisée pour le calcul de l’IDH. Il faut utiliser les mêmes fourchettes de variation que pour l’IDH afin de transformer les indicateurs en une échelle de zéro à un. La seule exception concerne l’espérance de vie à la naissance pour laquelle les fourchettes de variation sont ajustées selon un avantage biologique moyen pour les femmes de 5 ans par rapport aux hommes. [2]

Interprétation de l’indicateur

Les pays sont classés en fonction de l’écart absolu par rapport à la parité des sexes dans l’IDH. L’IDG permet de montrer, de façon chiffrée, que le développement ne profite pas aux hommes et aux femmes de manière égalitaire. Comme le note Christine Zanin à propos de l’ISDH (Indice Sexospécifique de Développement Humain), « l’ISDH consiste à corriger par des « pénalités », pour 136 pays, la valeur moyenne du développement humain. Cette correction est fonction des écarts entre hommes et femmes constatés sur les principales composantes de l’IDH ». [3]

Références

  1. http://hdr.undp.org/fr/content/indice-de-d%C3%A9veloppement-de-genre-idg
  2. http://hdr.undp.org/fr/faq-page/gender-development-index-gdi#t371n2009
  3. Christine Zanin, Genre et développement humain, Images économiques du Monde, Armand Colin, pp.4, 2007, halshs-00175130, https://hal.archives-ouvertes.fr/halshs-00175130/document

Indice d’inégalités de genre (IIG)

L’indice d’inégalités de genre (IIG ; GII en anglais) est un indicateur composite, créé en 2010 par le PNUD. Il met en évidence le manque à gagner, en termes de développement économique, imputable aux inégalités de genre. [1]

Objectifs

Cet indice, conçu sur le même modèle que l’IDH et l’IDHI, mesure le déficit de progrès dans trois dimensions du développement humain résultant d’inégalités de genre : santé reproductive, autonomisation et marché du travail. [2] Selon le Rapport sur le développement humain 2010, l’IIG est le seul indice à prendre en compte le niveau d’instruction, la participation économique et politique et les questions de santé spécifiquement féminines et également le seul à tenir compte d’inégalités concomitantes au niveau national. [3]

Composition

Les variables qui composent l’IIG sont :

  • la santé reproductive mesurée par le taux de mortalité maternelle et le taux de fertilité des adolescentes ;
  • l’autonomisation, mesurée par la part de sièges parlementaires occupés par des femmes et la part de femmes et d’hommes adultes âgés de 25 ans et plus ayant atteint au moins un niveau d’éducation secondaire ;
  • le statut économique exprimé en participation au marché du travail et mesuré par le taux d’activité de la population active chez les femmes et les hommes âgés de 15 ans et plus. [1]

Méthodologie

L’IIG est calculé à partir de la même méthodologie que l’Indice de Développement Humain ajusté selon les inégalités (IDHI). [1]

Pour plus d’informations sur la méthodologie de l’IIG : http://hdr.undp.org/en/faq-page/gender-inequality-index-gii#t294n2422

Interprétation

Les valeurs s’échelonnent de 0 (égalité parfaite) à 1 (inégalité totale). Plus la valeur de l’IIG est élevée, plus les disparités entre les femmes et les hommes sont importantes. [4]

Les quatre premiers pays en 2010

Les Pays-Bas, suivi du Danemark, de la Suède et de la Suisse sont en tête de liste des pays en phase d’atteindre l’égalité de genre avec un IIG moyen de 0,23. Les dix pays qui se retrouvent en queue de liste sont (par ordre décroissant) le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Libéria, la République centrafricaine, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, l’Afghanistan, le Mali, le Niger, la République démocratique du Congo et le Yémen, avec un IIG moyen de 0,79. [3]

Références

  1. http://hdr.undp.org/fr/content/lindice-din%C3%A9galit%C3%A9s-de-genre-iig
  2. http://www.afd.fr/jahia/webdav/site/afd/shared/PORTAILS/SECTEURS/GENRE/pdf/10-Mesurer-inegalites-indices-genre.pdf
  3. http://hdr.undp.org/sites/default/files/hdr_2010_fr_complete_reprint.pdf
  4. http://hdr.undp.org/en/faq-page/gender-inequality-index-gii#t294n242

Indice mondial d’écart entre les sexes (IMES)

L’indice mondial d’écart entre les sexes (Global Gender Gap Index en anglais, plus couramment utilisé) est un indice développé par le Forum économique mondial en 2006. [1]

Objectifs

Cet indice a été conçu en premier lieu pour mesurer les inégalités de genre dans l’accès aux ressources et aux opportunités dans un pays donné, plutôt que de décrire les niveaux de ressources et d’opportunités dont disposent déjà les hommes et les femmes dans un pays. Cet indice repose également sur une évaluation des inégalités socio-économiques entre les hommes et les femmes. Il s’agit de donner un aperçu des disparités entre hommes et femmes dans l’exercice de certains droits humains. [1]

Composition

Les quatre variables qui composent le Global Gender Gap Index sont :

  • la participation économique et les opportunités : salaires, participation et emploi hautement qualifié ;
  • l’éducation: accès aux niveaux élémentaires et secondaires de l’éducation ;
  • la santé : espérance de vie et proportion des sexes ;
  • la participation à la vie politique : représentation dans les structures de prise de décisions. [2]

Méthodologie

Les données issues de ces variables sont converties en ratios hommes/femmes. Agrégées, ces données permettent de donner un score à un pays selon son niveau d’achèvement de l’égalité de genre.

Interprétation

Plus le ratio s’approche de 1 (ou 100%), plus le pays s’approche de l’égalité femmes-hommes ; à l’inverse, un score tendant vers 0 ou 0% dénote d’une forte inégalité entre les hommes et les femmes. Le Global Gender Gap Index permet de classer les pays selon le degré d’accomplissement de l’égalité de genre, plutôt que selon le degré d’autonomisation des femmes. [1]

Les dix premiers pays en 2014

L’Islande se hisse en haut du tableau des dix premiers pays selon le Global Gender Gap Index avec un ratio de 0,859. La Finlande, la Norvège, la Suède et le Danemark complètent les 5 premières places du tableau. Le Nicaragua, le Rwanda, l’Irlande, les Philippines et la Belgique sont respectivement classés de la 6ème à la 10ème place. [3]

Références

  1. Note du Forum économique mondial sur le Global Gender Gap Index en 2014, « The Global Gender Gap Index 2014: Measuring the Global Gender Gap », http://reports.weforum.org/global-gender-gap-report-2014/part-1/the-global-gender-gap-index-2014/
  2. http://www3.weforum.org/docs/WEF_NR_GlobalGenderGapReport_2012_FR.pdf
  3. http://reports.weforum.org/global-gender-gap-report-2014/rankings/

Liens externes

Rapport sur le Global Gender Gap Index 2012 (en anglais) : http://www3.weforum.org/docs/WEF_GenderGap_Report_2012.pdf

Données sur le Global Gender Gap Index 2014 : http://reports.weforum.org/global-gender-gap-report-2014/

Vidéo sur le Global Gender Gap Index 2015 (en anglais) : http://youtu.be/llj7LzTULog

Indice d’égalité de genre (IEG) [1]

L’indice de l’égalité de genre (IEG, en anglais GEI) est un indice créé par l’Institut Européen pour l’égalité femme-homme (en anglais European Institute for Gender Equality ou EIGE) en 2005.

Objectifs

L’indice de l’égalité de genre a été façonné par l’EIGE pour évaluer l’impact des politiques d’égalité femmes-hommes mises en place au sein de l’UE et de ses pays membres.

Composition

L’indice de l’égalité de genre de l’EIGE repose sur six thématiques centrales : le travail, l’argent, la connaissance, le temps, le pouvoir et la santé; et deux thématiques transversales : les violences contre les femmes et les inégalités cumulatives. La sélection des indicateurs initiaux est réalisée sur une base théorique, à partir de plus de 200 variables provenant de différentes sources.

Méthodologie

La sélection des indicateurs initiaux est réalisée sur une base théorique, à partir de plus de 200 variables. Les résultats de l’analyse multivariée fournissent l’ensemble final des vingt-sept indicateurs, regroupés en six domaines, chacun subdivisé en deux sous-domaines (soit un total de douze sous-domaines). L’agrégation de ces indicateurs permet de donner un score à chaque État en termes d’égalité femmes-hommes.

Interprétation

Le résultat obtenu se situe entre 1 et 100, cette dernière valeur représentant l’égalité de genre totale en conjonction avec le plus haut niveau de réalisation observé. Par exemple, un résultat de 50 sur 100 indique qu’il reste encore la moitié du chemin à parcourir pour réaliser l’objectif d’égalité de genre tout en maximisant le niveau de réalisation.

Principaux résultats 2015

L’ensemble des pays de l’UE affiche un résultat moyen de 54. Parmi les résultats obtenus, le domaine du pouvoir affiche les plus grandes disparités, avec un résultat moyen de seulement 38 au niveau de l’UE. Le domaine du temps se situe au deuxième rang des inégalités les plus flagrantes. Il révèle des différences importantes en ce qui concerne le temps consacré aux activités domestiques et de soins/garde non rémunérés. La Suède, le Danemark et la Finlande se positionnent en haut du classement avec respectivement un indice de 74,3 ; 73,6 et 73,4 tandis que la Bulgarie et la Roumanie ferment la marche avec un indice de 37 et 35,5.

Références

  1. Résultats des pays de l’UE 2015 selon l’indice de l’égalité de genre : http://eige.europa.eu/sites/default/files/documents/MH0213275FRC.pdf

Liens externes

Justification du cadre conceptuel pour l’indice d’égalité de genre pour l’UE:http://eige.europa.eu/sites/default/files/documents/Rationale-for-the-Gender-Equality-Index-for-Europe_FR.pdf

EIGE News, « EIGE launches Gender Equality Index 2015: Marginal improvements in gender equality », 2015 (en anglais): http://eige.europa.eu/news-and-events/news/eige-launches-gender-equality-index-2015-marginal-improvements-gender-equality

Site Internet de l’indice d’égalité de genre (en anglais) : http://eige.europa.eu/gender-statistics/gender-equality-index/about

Indice de développement et des inégalités entre les sexes en Afrique (IDISA)

L’Indice de développement et des inégalités entre les sexes en Afrique (IDISA ; AGDI en anglais) est un indice composite, créé dans le cadre du processus de revue de Beijing +10.

Objectifs

L’IDISA vise à mesurer l’écart entre la condition des hommes et des femmes en Afrique, et à évaluer les progrès réalisés par les gouvernements africains dans la mise en œuvre des politiques de genre qu’ils ont élaborées. [1]

Composition et méthodologie [2]

L’IDISA comporte deux composantes: la première, l’indice de la condition de la femme (ICF), qui mesure les inégalités relatives au genre à l’aide d’indicateurs quantitatifs disponibles qui concernent l’éducation, la santé, les revenus, l’emploi du temps, l’accès aux ressources, la représentation politique formelle et informelle et l’emploi ; la seconde composante concerne le Tableau de bord de la promotion des femmes en Afrique (TBPFA) qui couvre les questions d’ordre qualitatif relatives aux performances des politiques de genre des gouvernements africains.

  1. L’Indice de la condition féminine (ICF)

L’ICF rend compte d’aspects liés à l’égalité entre les sexes qui peuvent être quantifiés dans divers domaines : social, politique et économique (par exemple, on y retrouvera pas d’indice de la mortalité maternelle, car il n’y a pas d’équivalent pour les hommes).

L’ICF comporte 3 rubriques :

  • Le « pouvoir social ou Capacités » qui comprend des indicateurs sur l’éducation et la santé ;
  • Le « pouvoir économique ou Opportunités » qui comprend des indicateurs relatifs au revenu, au budget-temps, à l’emploi et à l’accès aux ressources ;
  • Le « pouvoir politique ou Pouvoir d’action » qui comprend des indicateurs relatifs au pouvoir politique formel et informel.

Pour chaque variable, l’indicateur de l’égalité entre les sexes se calcule de la même manière:

  • Comparaison des résultats obtenus par les femmes et des résultats obtenus par les hommes. Plus l’indicateur se rapproche de la valeur 1, meilleurs sont les résultats en matière d’égalité des sexes.
  • L’indicateur est aussi calculé pour chaque sous-composante, pour chaque composante et pour chaque rubrique. L’indice est alors calculé pour refléter le profil général du pays.
  1. Le Tableau de bord de la promotion de la femme en Afrique (TBPFA)

Le TBPFA  évalue, de manière qualitative, l’efficacité des politiques nationales de promotion et d’autonomisation des femmes. Il suit les progrès des gouvernements africains en ce qui concerne la ratification et la mise en œuvre effective des conventions relatives à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes dans 4 domaines :

  • Les « droits de la femme », axé sur la CEDEF et sur le protocole relatif à la femme de la Charte africaine sur les droits de l’homme et des peuples ;
  • Le « pouvoir social ou les capacités » ;
  • Le « pouvoir économique ou les opportunités » ;
  • Le « pouvoir politique ou la capacité d’influer sur le processus décisionnel ».

Interprétation

La performance des Etats membres pour chaque convention et pour chaque mesure est évaluée grâce à un système de notation à trois niveaux : 0 pour des résultats nuls ; 1 pour des résultats médiocres à moyen ; 2 pour des résultats bons ou excellents.

Principaux résultats  en 2009

En 2009, la Commission économique pour l’Afrique a rendu publique un rapport sur l’IDISA, mis à l’essai dans 12 pays représentatifs des cinq sous-régions du continent africain, à savoir l’Afrique du Sud, le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, l’Égypte, l’Éthiopie, le Ghana, Madagascar, le Mozambique, l’Ouganda, la Tanzanie et la Tunisie. [1]

Références

  1. Rapport sur les femmes en Afrique, Commission économique pour l’Afrique, 2009 : http://www.uneca.org/sites/default/files/PublicationFiles/rapport_femmes_09_fre_fin.pdf
  2. Rapport sur l’Indice de développement et des inégalités entre les sexes en Afrique, 2004 : http://www.uneca.org/sites/default/files/PublicationFiles/agdi_book_french_011005.pdf

Liens externes

Tacko Ndiaye Ndèye, « L’Indice de Développement et des Inégalités entre les Sexes en Afrique (IDISA) », in Malengrez Maude, Genre et indicateurs de développement, Collection Analyse et plaidoyer de l’ONG Le Monde selon les Femmes, Bruxelles, 2006, pp.14-16, http://www.mondefemmes.be/pdf/capgenind.pdf

L’indicateur de développement et des inégalités entre les sexes en Afrique, Commission économique pour l’Afrique, 2011 : http://www.observaction.org/wp-content/uploads/2014/10/lindicateur-de-developpement-et-inegalites-entre-les-sexes-en-afrique1.pdf

Liens externes généralistes

Association Adéquations, Fiche 6. Les indicateurs de genre, Novembre 2009, http://www.adequations.org/spip.php?article1269

Malengrez Maude, Genre et indicateurs de développement, Collection Analyse et plaidoyer de l’ONG Le Monde selon les Femmes, Bruxelles, 2006, http://www.mondefemmes.be/pdf/capgenind.pdf

Emily Esplen, Emma Bell, « Kit Actu Boîte à outils : Genre et indicateurs », Bridge, 2007, http://www.observaction.org/wp-content/uploads/2015/01/Genre-et-indicateurs-Boite-%C3%A0-outils.pdf

Annalise Moser, « Kit Actu Panorama : Genre et indicateurs », Bridge, 2007, http://www.observaction.org/wp-content/uploads/2015/01/Genre-et-indicateurs-Panorama.pdf

Genre en Action, « Les indices d’égalité de genre : entre logique des chiffres et réalités de terrain » (année non précisée), http://www.genreenaction.net/Les-indices-d-egalite-de-genre-entre-logique-des.html

 

 

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